L’Inde est témoin d’un moment historique où la convergence des forces marchandes, sociales et politiques pourrait redéfinir l’avenir économique du pays. Un récent rapport du Forum économique mondial prédit qu’au rythme actuel des progrès, il faudra 134 ans pour atteindre la parité entre les sexes – un calendrier alarmant qui souligne l’urgence de réinventer notre approche de l’équité entre les sexes.
L’Inde se trouve à un moment historique où la convergence des forces marchandes, sociales et politiques pourrait redéfinir l’avenir économique de la nation. Un récent rapport du Forum économique mondial prédit qu’au rythme actuel des progrès, il faudra 134 ans pour atteindre la parité entre les sexes – un calendrier alarmant qui souligne l’urgence de réinventer notre approche de l’équité entre les sexes. Même si l’Inde a réalisé des progrès louables dans la réduction de l’écart entre les sexes, ceux-ci restent insuffisants. Avec seulement 64,1 % de l’écart entre les sexes comblé en 2024, le pays se classe au 129e rang mondial, ce qui indique la nécessité de politiques de transformation.
Les réussites passées, telles que le Pradhan Mantri Jan Dhan Yojana (PMJDY), démontrent que des efforts coordonnés entre divers secteurs peuvent donner des résultats substantiels. PMJDY, qui a révolutionné l’inclusion financière, illustre l’effet Trifecta : un alignement synergique de la dynamique du marché, des initiatives sociales et de la volonté politique. Pour exploiter pleinement le potentiel de la main-d’œuvre féminine et parvenir à une véritable parité entre les sexes, l’Inde doit appliquer cette approche à l’économie des soins.
L’économie des soins, qui comprend la garde d’enfants, les soins aux personnes âgées et les services de santé, est un secteur souvent négligé mais essentiel qui recèle un potentiel de transformation pour l’économie indienne. Selon le Fonds monétaire international, atteindre la parité entre les sexes pourrait augmenter le PIB de l’Inde d’un incroyable 27 %. En investissant stratégiquement seulement 2 % de son PIB dans l’économie des soins, l’Inde pourrait créer 11 millions de nouveaux emplois, augmentant ainsi considérablement la participation des femmes au marché du travail. Cet investissement permettrait non seulement de répondre à des besoins sociaux urgents, mais aussi de stimuler la croissance économique. Un plus grand nombre de femmes sur le marché du travail conduirait à une plus grande indépendance financière, à une réduction des disparités entre les sexes et à un modèle économique plus inclusif et durable. L'impact serait profond, car il autonomiserait les femmes, renforcerait les familles et favoriserait une société plus équitable.
Cependant, l’effet Trifecta n’est pas sans défis. Il est difficile d’aligner les forces du marché, les forces sociales et politiques, car chacune d’elles opère selon des priorités différentes. Les forces du marché, motivées par des motivations de profit, donnent souvent la priorité aux gains à court terme plutôt qu’aux avantages sociétaux à long terme, ce qui conduit à hésiter à investir dans la diversité et l’inclusion des genres. Les forces sociales, bien qu’influentes dans la formation de l’opinion publique, sont souvent entravées par des normes culturelles profondément enracinées qui résistent au changement. Les forces politiques, malgré leur capacité à mettre en œuvre des politiques en faveur de la parité hommes-femmes, se heurtent souvent à des résistances de la part d’intérêts particuliers et manquent d’engagement durable. Les désalignements entre ces forces se traduisent par des initiatives symboliques des entreprises, des mouvements sociaux qui peinent à gagner du terrain et une volonté politique qui vacille face à l’opposition.
Le faible taux de participation des femmes au marché du travail (LFPR) en Inde, en particulier dans les zones urbaines où il s’élève à seulement 25,6 %, reflète un problème systémique plus large. Les femmes sont confrontées de manière disproportionnée à un travail non rémunéré, notamment aux tâches ménagères et aux responsabilités de soins, ce qui limite leur participation économique. Selon l'Organisation internationale du travail, les femmes en Inde consacrent près de six heures par jour à un travail non rémunéré, contre seulement une heure pour les hommes.
Un domaine politique essentiel est celui des soins aux personnes âgées. À mesure que la population indienne vieillit, la demande de soins aux personnes âgées augmente, ce qui exerce une pression supplémentaire sur les femmes, qui sont souvent les principales dispensatrices de soins. Les initiatives gouvernementales visant à fournir des services subventionnés de soins aux personnes âgées, ainsi que des incitations à l'investissement du secteur privé dans ce domaine, allégeraient le fardeau des soins aux femmes et ouvriraient de nouvelles opportunités d'emploi au sein de l'économie des soins.
Selon un rapport du McKinsey Global Institute, réduire l’écart entre les sexes en matière de participation au marché du travail pourrait ajouter 770 milliards de dollars au PIB de l’Inde d’ici 2025. Cependant, cet objectif ne peut être atteint sans s’attaquer aux causes profondes des responsabilités disproportionnées des femmes en matière de soins. Pour libérer tout le potentiel de l’économie des soins, l’Inde doit donner la priorité aux politiques qui réduisent ces charges non rémunérées et doter les femmes des compétences et des opportunités nécessaires pour participer au marché du travail. Les services de garde d'enfants subventionnés, les établissements de soins pour personnes âgées et le soutien aux soins de santé font partie des politiques qui contribueraient directement à la création d'emplois et à la croissance économique.
Die Unterrepräsentation von Frauen in Unternehmensführungen ist ein weiterer kritischer Bereich, der Aufmerksamkeit erfordert. Zwar gab es in den letzten fünf Jahren einen leichten Anstieg der Zahl von Frauen in Führungspositionen, die Zahlen bleiben jedoch unverhältnismäßig niedrig. Nur 56 % der Unternehmen geben an, dass 10–30 % ihrer Führungspositionen mit Frauen besetzt sind, und im Vergleich zu ihren männlichen Kollegen schaffen es weniger als 30 % der auf Einstiegsebene eingestellten Frauen in Führungspositionen. Noch düsterer ist die Diversität in Spitzenpositionen als CXO: Nur 51 % der Unternehmen erzielen signifikante Verbesserungen.
Trotz der Optik bleibt die harte Realität der gesellschaftlichen und kulturellen Glasdecken unnachgiebig. Der oft performative Einsatz der Geschlechtergleichheit und der Stärkung der Geschlechter in Indien, der durch den allgegenwärtigen „Hashtagismus“ symbolisiert wird, geht nicht auf die tief verwurzelten Barrieren ein, mit denen Frauen konfrontiert sind. Diese Fassade verschleiert den systematischen Ausschluss von Frauen aus Führungspositionen und einer sinnvollen Beteiligung am Arbeitsmarkt und sorgt so für ein Umfeld, in dem echte Geschlechterparität weiterhin schwer zu erreichen ist.
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